Description
Taraxacum officinale Weber – Capitules – Sachet kraft de 15 g
Froisser deux capitules par tasse. Mettre la plante dans l’eau froide et couvrir la casserole. Mettre à chauffer jusqu’à frémissement, couper le feu et laisser infuser à couvert 10 à 15 minutes. Filtrer et déguster chaud ou froid.
Vivace de la famille des Astéracées, appelée également Dent de lion, Laitue de chien, Salade de taupe, Liondent, Couronne de moine, Florin d’or. En Breton, on l’appelle C’hwervizon.
Il commence à faire parler de lui au Moyen-Âge. Dans le même temps les glossaires le mentionnent sous quatre noms dont l’un Taraxacum est resté dans la nomenclature moderne. Ce sont probablement les invasions barbares qui ont contribué à le répandre plus largement. C’est au XVéme siècle qu’il prend une importance médicale et scientifique. En 1546, H. Bock est le premier à lui reconnaître des vertus diurétiques auxquelles il doit son nom populaire français « Pisse-en-lit ». Pour Tabernaemontanus, apothicaire allemand du XVIème siècle, docteur en médecine à Paris, le Pissenlit est vulnéraire. Il faut attendre le XVIIIème siècle pour qu’il soit utilisé dans les maladies du foie, puis il est progressivement abandonné par la médecine populaire. Ce n’est qu’au XIXème siècle qu’il prend une place de choix en phytothérapie, place qu’il n’a jamais perdu jusqu’à aujourd’hui et les recherches scientifiques actuelles sont très prometteuses.
Aujourd’hui, on l’utilise en phytothérapie pour ses vertus apéritive, digestive (tonique amer), draineur hépato-biliaire, hépatoprotectrice, cholagogue, cholérétique, hypocholestérolémiante, dépurative du sang, diurétique, laxative, antiscorbutique et circulatoire. Il a également une action préventive contre les calculs urinaires et un rôle de protection du tissu conjonctif.
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Précaution d’emploi: Plante alimentaire (racines, feuilles et fleurs), aucun risque connu.